Ce numéro explore les défis de la communication publique face à l'excès d'informations et aux crises. Il invite à repenser les pratiques pour dialoguer malgré les obstacles, en s'appuyant sur des exemples concrets et en valorisant des approches inclusives et responsables.
Editorial de Armelle Tanvez, présidente de Communication publique, directrice de la communication de l'université de Strasbourg.
Pour des états généraux de l'information ET de la communication.
Face aux crises climatiques, les récits imaginaires réinventent l'action collective, éclairent les transitions et renforcent l'engagement.
Les banques centrales modernisent leur communication, simplifient les messages et adoptent des stratégies pédagogiques pour renforcer la confiance.
Stéphanie Rismont, directrice de la communication et de la marque, groupe SNCF.
Une campagne d'écogestes néologiques et participative à l'Université de Strasbourg : créativité, sobriété, et mobilisation collective.
Les défis de visibilité et d’attractivité des Outre-mer : l’exemple de La Réunion, entre identité, participation citoyenne et développement durable.
Bruno Ricard, directeur des Archives nationales.
Vers des consultations responsables : optimiser les marchés publics de communication tout en respectant l’éthique, l’environnement, et l’équité.
En 2023, les collectivités locales renforcent leur présence sur les médias sociaux : tendances, performances, et stratégies gagnantes.
Laurent Riéra, directeur de la communication, ville et métropole de Rennes, vice-président de Communication publique.
Vers une démocratie participative plus inclusive : intégrer des contreparties financières pour encourager l'engagement citoyen dans les concertations locales.
Face à l'excès d'infos et de simplifications, redécouvrons le discernement pour penser avec clarté et préserver notre liberté.
Entretien avec Dominique Wolton, fondateur et directeur de la revue internationale Hermès (CNRS)
Eric Dacheux, professeur en sciences de l’information et de la communication, Université Clermont Auvergne.
La communication entre pouvoirs et société doit être réciproque et participative, intégrant la contradiction comme étape démocratique.
Bernard Emsellem, ancien président de Communication publique, ancien directeur de la communication de la SNCF.
Samuel Jequier, directeur général adjoint de Bona fidé, président de l’Institut Bona fidé
Michaël Nathan, directeur du Service d'information du gouvernement.
Les nouvelles pratiques de communication numériques reconfigurent le lien social, créant des connexions plus multiples et individualisées.
La pandémie a révélé 4 obstacles à une communication efficace : culture épidémique, hésitations politiques, manque de consensus médical, fake news.
L'infobésité est un enjeu pour les institutions publiques. Les communicants doivent rationaliser l'info, en choisir le format et la temporalité.
L'infobésité empêche de traiter l'information efficacement. La fatigue informationnelle étouffe le raisonnement et menace la démocratie.
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